MACS - Grand-Hornu
Outre la constitution d’une collection riche de plus de 450 œuvres, le musée développe un vaste programme d’expositions d’envergure internationale, tantôt monographiques (Tony Oursler, Anish Kapoor, Christian Boltanski, etc.) tantôt thématiques (Sisyphe, Le Jour se lève ; S.F. Art, science & fiction ; Rebel Rebel, Art + Rock, etc.).
Le MACS organise également d’ambitieuses résidences d’artistes conduisant à des productions d’œuvres spécifiques en lien avec un axe important de sa programmation : la mémoire. Ainsi, en 2017, l’artiste américaine LaToya Ruby Frazier a réalisé une large enquête photographique sur l’histoire des mineurs du Grand-Hornu. En 2019, c’est l’artiste néerlandaise Fiona Tan qui investigua les archives de l’utopiste Paul Otlet conservées au Mundaneum.
Par ailleurs, le MACS attache une attention particulière à la médiation culturelle, à la publication d’ouvrages et à l’édition de lithographies.
Info : www.mac-s.be
- Lundi : Fermé
- Mardi : -
- Mercredi : -
- Jeudi : -
- Vendredi : -
- Samedi : -
- Dimanche : -
- T. +32 65 65 21 21
- Rue Sainte-Louise 82 - 7301 Hornu
- www.mac-s.be
- info.macs@grand-hornu.be
Le Musée des Arts Contemporains du Grand-Hornu accueille Daniel Turner pour sa première exposition muséale en Belgique consacrée à l'ancienne prison de Forest.
Daniel Turner expose au musée du Grand-Hornu
Né en 1983, Daniel Turner a consacré les 10 dernières années de sa carrière à la récupération et réappropriation d’infrastructures diverses. Il prélève sur des sites spécifiques des matériaux, des équipements et des résidus laissés par les personnes qui les ont occupés, qu’il transforme pour invoquer l’esprit du lieu.
Pour sa première exposition muséale en Belgique, l'artiste américain s’est intéressé à un site particulièrement symbolique : l’ancienne prison de la commune bruxelloise de Forest.
À la suite de sa fermeture en 2022, Turner a entrepris de documenter la prison, réalisant des enregistrements sur le terrain et collectant divers matériaux en résonance avec l’atmosphère carcérale.
L’œuvre contemporaine cherche à éveiller des réactions psychologiques vives, tout en faisant preuve d’une grande économie de moyens.
Une réflexion sur l'influence des environnements sur nos expériences, à découvrir au Grand-Hornu.